• Voilà la suite de Anita, j'asaie plusieurs types d'écriture alors dites moi votre avis par commentaire.

     

    Qui je suis... je ne sais plus, je me suis réveillée ici, au milieu de long truc vert, j'ai froid, où suis-je. Je me lève et commence a marché, un peu, des petits pas hésitant et... je m'étale par terre. Je continue, je réessaye. Je me tient à d'énormes choses brunes, rugueuses, je ne sais pas ce que c'est, je l'ai peut-être su, avant. Je continue a essayer. Je m'habitue, encore quelques pas. Des trucs noirs me dérangent, j’essaie de les enlevés mais je n'y arrive pas, et puis, ça me fait mal. Ça me tire. Je continue a marcher, j’entends du bruit pas loin. Je dois aller tout droit. Je retombe, ça fait mal, un liquide rouge et poisseux coule mais je me relève, et je continue a marcher, encore et encore. J'arrive dans un grand endroit avec plein de gens, ils crient, mais je sais où je suis, un nom me reviens en tête, je suis à Araonaa. Je continue a marcher, parmi les autres, je erre. D'un coup on m'attrape et me tire en arrière. Je regarde autour de moi, et je le vois, là, quelqu'un de beau, brun. Il esquisse un sourire.

    • Vous avez besoins d'aide ?

    Je hoche faiblement la tête. Il est gentil, me dis-je, il va m'aider. Je dois aller avec lui. Il m'attire plus loin, je vois défiler pleins de gens qui vont vite, ils m'étouffent. On continue, plus vite, encore plus vite. Et puis, il s'arrête net devant quelque chose de grand, de blanc. Il ouvre un truc brun et me fait signe de le suivre, j'obéis. Je ne connaît pas. Je ne sais pas comment ça s'appelle mais c'est beau, plein de couleurs, ça brille. Le brun crie :

    -Eh, chef, j'ai une recrue.

    Deux autres hommes apparaissent. Un grand et gros, qui a l'air méchant, et l'autre plus petit, il a des choses bizarre autour de ses yeux, deux ronds en verre, je crois, mais lui il a l'air gentil. Le grand affiche un air surpris.

    -Ça, une recrue, elle est toute frêle, elle ne pourrait pas se défendre !

    -J'ai pensé, commence le beau brun, que comme elle est toute fine, elle pourrait se faufiler partout. Elle nous sera utile.

    L'autre acquiese et le plus petit hoche la tête, comme un signe pour moi, pour dire que je ne devrais pas être ici. Je le regarde, lui il me dira peut être où je suis.


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  • Une petite phrase comme ça...Il ne faut pas oublier ce qui nous fait mal, il faut mieux s'en souvenir pour mieux se venger.

     


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  • Les deux jeunes gens marchaient en souriant, la chasse avait été bonne, ils avaient éliminé tous les témoins, il fallait qu'il y en ai aucun, c'était primordial pour le projet. Ça avait été si facile de tous les attirés dans cette forêt, après il n'y avait plus qu'a les cueillir. Ils continuèrent ainsi, a marcher gaiement, chantant parfois des mélodies qui leurs venaient en tête. C'est la mine souriante qu'ils rentrèrent trouver l'Alchimiste, leur maître a tous, celui qui avait lancé le projet. Si les deux hommes pensaient être accueilli les bras ouvert, ils se trompaient lourdement. Quand l'Alchimiste les vit entrer, un sourire cynique apparu sur ses lèvres.

    - Vous les avez tous tués, demanda-t-il, tous ?

    - Oui maître, dirent les deux autres en s'agenouillant.

    - Bien, très bien, mais j'espère que vous comprendrez que quand je dis aucuns téloins dérangeants, c'est aucuns, vous deux y compris... j'en suis désolé, croyez moi.

    Les yeux des deux autres s'agrandirent de terreur, mais avant qu'ils n'aient pu dire un mot, l'Alchimiste avait fait un signe de la main et les deux pauvres hommes s'étaient fait descendre.

    Maintenant, pensa l'Alchimiste, tous les témoins sont éradiqués.

    Tous, non, car ce que les deux hommes n'avaient pas vu, c'était que quand ils avaient fait demi tour, une main avait bougée faiblement, la main d'une innocente jeune femme, qui était, elle, encore en vie...


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  • Je ne sais pas si vous connaissez ce livre mais le tome deux de "Âme vagabonde" est en cours d'écriture j'ai trop hâte qu'il soit publié ce livre est génial !!!


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  • 14 février :

    Journal intime :

    J'habite à Liannon, un pays dévasté, moche, sous l'emprise d'un dictateur méchant et sans pitié. Ça fait déjà deux ans et plus il est là, plus il empire. Je suis triste, triste pour tous ceux qui meurent par sa faute, pour ceux qui se font torturer pour son plaisir.

     

    15 février :

    Journal intime :

    Le dictateur a encore fait des victimes aujourd'hui, dix adultes et cinq enfants, evidemment ; les journaux n'en parlent pas mais moi je le sais. J'ai peur pour ces gens ; un menace flotte au dessus de leurs têtes et ils ne peuvent pas s'échapper. Il les tuera peut être, sinon, il les torturera pour s'amuser...

     

    16 février :

    Journal intime :

    J'avais raison, hier, le dictateur a tué cinq des adultes, il a aussi torturé les cinq autres devant les enfants. Si seulement il n'était pas là, si seulement cet homme, le dictateur, n'était pas moi. J'ai mal pour chacune de mes victimes, pour chacun de mes actes horribles, j'ai mal d'être moi...


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